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À La Chapelle-sur-Erdre, les élus communistes exigent le logement accessible à tous !
Jeudi 14 avril 2016
Le Plan d'Occupation du Sol (POS) de 1992 a donné les bases d'une urbanisation organisée et maîtrisée.
Une volonté politique s'en est suivie en orientant cette urbanisation vers la «mixité sociale» : ce qui consiste tout simplement à répondre aux besoins en logements des personnes âgées, des jeunes, et de l'ensemble de la diversité de la population, qu'elle soit plus ou moins aisée, sans oublier les plus démunis.
Le Plan Local de l'Habitat (PLH) qui est mis à jour périodiquement, participe à fixer des objectifs de création de logements dans ce sens et permet de planifier leurs réalisations.
Ces outils, bien qu'indispensables, ne peuvent amener la ville à disposer rapidement des 25% de logements sociaux que la loi Duflot nous impose.
En effet, avec 6,59% de logements sociaux en 2003, 8,21% en 2009 et 12% de logements sociaux en 2015, La Chapelle-sur-Erdre a encore de gros efforts à fournir pour être en conformité avec la loi.
Nous savons que pour atteindre cet objectif, nous devons engager des opérations d'habitat avec 50% voire 100% de logements sociaux étant donné le retard que la ville connaît en la matière.
Il nous faut nous y atteler, car les demandes de nos aînés à vouloir se rapprocher du « bourg », de nos jeunes qui souhaitent rester vivre sur la commune, et plus généralement des 500 demandeurs inscrits qui sont en attente d'un logement sur La Chapelle-sur-Erdre nous y contraignent.
La tâche est rude, car passer de 12 à 25% de logements sociaux nous oblige à regarder le visage de notre ville d'une autre manière, si nous voulons répondre aussi à l'autre exigence qui est la limitation de consommation de foncier.
Et pourtant, le vieillissement de la population nous alerte sur la nécessité d'entreprendre des initiatives rapidement pour accueillir une population jeune et garantir ainsi la vitalité de notre cité. Pour les élus que nous sommes, l'ambition que nous portons est claire ; nous soutiendrons cette transformation de notre cité pour le bien vivre ensemble en mixité et parce que c'est la seule route qui puisse conduire à l'équilibre d'une société tolérante et respectueuse des enjeux d'une ville du XXIème siècle.